Et voilà encore une année qui termine sa course, bien mouillée sa course, nous totalisons une hauteur d'eau rarement atteinte 1316 millimètres
Tant d'eau n'a pas eu que des avantages, évidemment les nappes phréatiques en ont bien profité et elles sont pleines, mais les floraisons fruitières n'ont que très modérément apprécié ces excès, les fuits en ont pâtis très sérieusement, les récoltés s'en sont bien ressenties.
Nous avons tout de même survécus, et l'année qui va s'ouvrir, avec ses 5 vendredis, samedis et dimaches dasn un même mois, si l'on en croit ce qui voyage sur les ondes devrait être plus abondante. L'espoir est un bon carburant, usons en sans manière.
Le nouveau jardin s'est orné encore de nouvelles plantations de viburnums, d'orme et sutout d'un poivrier du Sechouan, (pourquoi poivrier pour cet agrume ?) dont les baies offre un arôme délicieux et légèrement réveillant.
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